La visite au Jardin des Violettes m’a donné envie de voir moi aussi les mésanges de près, et je me suis équipée d’une mangeoire et de boules de graisse. Dès le 1er jour, quatre mésanges sont venues se suspendre aux boules de graisse, pas effrayées de tout, et au bout de trois jours, deux rouge-gorges et des chardonnerets sont arrivés. Ils mangent par terre ou sur la mangeoire, mais n’ont pas la dextérité des mésanges pour s’accrocher aux boules de graisse.
Journée au Jardin des Violettes à Mahéru
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Quelques photos d’un jardin tenu par une passionnée, adhérente Gîtes de France depuis 10 ou 15 ans je crois, près de Moulins la Marche. On est alors mi-décembre, et le jardin est quand même super. J’étais tellement époustouflée par … Lire la suite
Visite à Verdun
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Nous nous sommes arrêtés à Verdun en rentrant d’Alsace. Nous avons dépassé la ville et sur la colline, nous nous sommes arrêtés à chaque pancarte, à chaque guérite, à chaque abri. Hyper intéressant pour un ado, car les … Lire la suite
des fleurs en novembre
Alsace en octobre
Clochette en goguette
Déjà deux fois que Clochette s’échappe de sa cage en bois pour l’extérieur en grignotant les planches qui en constituent le tour. Nikita est devenue folle car elle n’a pas réussi à l’attraper. Pas con, la Clochette s’est réfugiée derrière des trucs par-dessous lesquels le monstre noir ne passait pas. Je lui ouvre la cage en fer pour la laisser balader dans la salle, et maintenant elle ne fait plus de petits cacas partout… Elle mange des pissenlits, parfois des grandes herbes, des pommes, de la salade, du pain et de la nourriture pour lapin sans les pellets, qu’elle laisse dans la gamelle. On peut la prendre dans les bras et la caresser, elle est vraiment mignonne.
Bellême pour les journées du patrimoine 2014
Avec le beau temps en septembre, nous sommes allés à Bellême pour les journées du patrimoine et c’était super : tous les hôtels particuliers avaient ouvert leur cour et/ou leur jardin, et accueillaient un artisan (forgeron, ébéniste, maroquinier…), toutes les boutiques du vieux centre étaient ouvertes, et le sont a priori tous les dimanches (salon de thé, créatrice de bijoux, boutiques de sacs en toile de jute, d’objets revisités…). Des photos pour mettre en images…
Nikita en vacances
Cette année, Nikita est venue en vacances avec nous, à la montagne puis à la mer. Elle a fait toutes les activités où elle était acceptée, sinon elle attendait dans la voiture. Pas facile d’emmener son chien en vacances, musées, parcs nationaux, jardins, châteaux, beaucoup d’endroits lui sont interdits.
des nouvelles de Clochette
Mademoiselle Clochette se promène à nouveau en liberté dans la salle à vivre, l’accès à l’insert étant bloqué par diverses choses. Elle sort un peu dès que j’ouvre, puis passe le reste de la matinée dans sa cage, tranquille. Dès qu’il fait beau, elle sort dans l’enclos en bois, mais elle l’a bien grignoté, histoire d’abolir les barreaux, Clochette aime sa liberté! Ce matin , elle a machouillé 3/4 pissenlits, sans les manger vraiment, elle n’est toujours pas au fait des nourritures traditionnelles des lapins!
Clochette, la nouvelle pensionnaire du Relais
- c’est quoi ce truc vert et croquant?
Clochette est arrivée un vendredi soir il y a 10 jours, avec toute sa maison y compris le garde-manger. Cette jolie lapine, sans doute achetée dans une animalerie, vivait en liberté dans un magasin parisien, sa petite clochette autour de la taille. Elle devait bien faire de petites bêtises, bref la voilà chez nous. Après une nuit dans sa grande cage, la belle voulait sortir et mordait furieusement sa cage. Thierry insistant pour qu’elle explore son nouvel environnement, nous l’avons lâchée, elle devait venir quand on l’appelle, se laisser attraper… Peut-être dans son ancienne maison! Après 2 jours à vagabonder dans la grande salle de vie, plus de Clochette, disparue. La seule ouverture étant dans le fond de l’insert, nous avons éclairé tant bien que mal et aperçu un trou amenant au conduit de cheminée que Thierry n’avait pas comblé faute d’accès. Le 3ème jour, Clochette avait fait tomber son collier, les plaques d’isolation, de la chaux, mais elle n’était pas descendue de sa cachette, on ne savait pas si elle se nourrissait ou si elle était coincée. Nous avons donc démonté, et donc descellé, le dessus de la cheminée pour récupérer notre Clochette apeurée. Plus question de balade dans la salle avant de condamner ce trou.
Le temps devenant estival, nous avons sorti l’enclos en bois que nous avions construit pour Jeannette, notre précédent lapin, un géant des Flandres. La cage installée au sein de l’enclos, nous l’avons ouverte et Clochette a pu sortir explorer ce petit enclos posé sur l’herbe.
Comme pour la nourriture naturelle d’un lapin, l’herbe ne fait pas partie de ce que connaît Clochette. Elle a eu peur le 1er jour, sortant peu de sa cage, mais depuis le 2ème jour elle gratte pour y aller dès qu’elle me voit le matin. Elle ne mange pas de salade ni de pissenlit, se contentant de jouer avec! Elle a mis 5 jours pour grignoter un morceau de pain bien dur, mais elle a grignoté tout le maïs cassé que j’ajoute au blé des poules. Et samedi, je l’ai vue manger de l’herbe. Elle a compris que ce tapis de verdure qui gratouille les papattes est un garde-manger.
Avec Nikita, ça va. Clochette n’a pas peur sauf quand quand le monstre noir aboie en sautant autour de l’enclos. Pour autant, pas question que Nikita et Clochette fassent ami-ami, un lapin reste une proie pour un chien, surtout quand ledit chien a tué et ramené 20 jours avant un lapereau qui gîtait avec sa famille dans un tas de broussailles prêt à être brûlé…
Quelques photos pour illustrer la nouvelle vie de Clochette, le lapin parisien qui vient de découvrir l’herbe!